mardi 25 août 2015

le #TaubiraTweet, le 8ème Art ou on n'a pas tous les jours d'avoir un Ministre artiste

 
 



Le #TAUBIRATWEET:  la Littérature du XXIème siècle l'attendait.

En quelques mois de ce quinquennat flamboyant qui marquera l'Histoire de la France, il est assez peu de réjouissances pour ne pas souligner l'incroyable surprise de découvrir que ce gouvernement E-X-C-E-P-T-I-O-N-N-E-L cachait un Ministre artiste en la personne de notre Commandeur des croyants PS, j'ai nommé Madame le Garde des Sceaux Christiane Taubira !

Ô Christiane, Gardienne des Sceaux et des Lettres, quelle chance avons nous de vous avoir comme Ministre de la Justice ! Réjouissons nous mes chers concitoyens de ce bonheur : un  Etat qui compte parmi ses ministres, une héritière de Malraux, de Léopold Sedar Senghor, d'Aimé Cesaire.

Preuve de son importance et de sa postérité anticipée, Christiane Taubira signe tous ses tweets, comme un auteur, comme un peintre, comme quelqu'un qui veut s'inscrire dans l'Histoire.

Christiane Taubira, c'est  Duras qui aurait croisé Prévert, Desnos, Mao, Jacky Sardou, Aimé Césaire et les Shadocks.

Dans la droite ligne de Duras, Christiane Taubira marquera longtemps par son œuvre que vous, pauvre sang bleus, pauvres extrémistes et patriotes en mal d'amour, veilleurs, sentinelles et anti mariage unisexe, vous ne pouvez pas comprendre.
Elle est tellement "si haut" qu'avec sa copine Najat, elles vous méprisent.

L'œuvre quant à elle, mérite - et je suis sérieux - un titre, une récompense.
Elle y aspire d'ailleurs et sans doute pense t-elle déjà au Prix Nobel de littérature.
Jugez plutôt de la teneur de l'œuvre :







 
 
 
 
 
 
L'œuvre est unique, dense et sévère.
On pense à Duras, à Messaline, à Georges Sand, à Brejnev et Salomé.
Puissance du verbe et coups de menton à la Mussolinienne, cette (h)auteure est en plein essor.
A la fin de son mandat, songez à ces recueils de poèmes dont elle nous gratifiera, dont elle nous humiliera de son talent incandescent.
 
 
Aussi, chers lecteurs fidèles, aucun auteur de talent ne pouvant se priver d'être plagié, je n'ai pu m'empêcher de rendre hommage à notre Christiane Taubira, et pour poursuivre cet hommage, je posterai régulièrement sur ce blog des Tweets à la mode Durasso-Taubirienne qui nous enchanterons, nous pauvres âmes non affiliées au PS et vouées au purgatoire.
 
 

lundi 24 août 2015

ceux qui m'aiment prendront le train...



Le triste et déplorable épisode de la fin de semaine dernière qui a vu un tireur sur-armé sur le point de commettre une tuerie barbare dans une rame de THALYS qui revenait d'AMSTERDAM me paraît incroyablement significatif des années à venir.
Derrière le décor de Fait Divers que les médias ont vainement essayé de broder laborieusement - comme à leur habitude - et auquel nous pouvons le voir aucun français véritable n'a souscrit- cet attentat avorté est une bien réaliste allégorie de la FRANCE.
Jugez plutôt : des français et des touristes, familles, militaires en permission, couples, hommes d'affaires, retraités en voyage, tous de retour d'Amsterdam, pris en otage d'un train à grande vitesse qui a embarqué par la faiblesse et la défaillance des autorités, un indésirable criminel qui se cachait lâchement pour pouvoir zigouiller allègrement tous ces gens qui ne lui avaient fait aucun mal, au nom d'une idéologie (cessez d'appeler cela une religion) meurtrière ET étrangère, avec armes de guerre et lames tranchantes, le tout avec la non assistance à personne en danger des responsables du train,  des Etats européens concernés, et notamment de la France - qui est sous Vigipirate écarlate je le rappelle et qui a fiché , avec 2 autres pays, le tueur comme islamiste radical .... n'en jetez plus, c'est limite un cas d'école.

Eh bien les seules personnes à s'être opposées à ce tueur sont des quidams (certes des GI de l'Armée américaine, un britannique et 2 personnels de la SNCF - dont un à la retraite). Ce ne sont pas des soldats armés, ni des policiers chargés de nous défendre qui sont intervenus, non, ce sont des gens du quotidien, c'est le peuple. C'est vous, c'est moi.

Bref, nous sommes tous non pas CHARLIE, mais nous sommes tous dans ce train en folie, sans protection, avec la démission d'un Etat qui vous contraint à cohabiter avec des fous furieux armés de pistolets d'assaut et qui veulent nous exterminer sans raison, nous, nos enfants, notre culture et notre société.
Personne n'est venu aider ces voyageurs enfermés comme des lapins livrés en pâture à des tueurs du radicalisme islamique.

L'Etat a bien fiché l'individu pour radicalisme islamique mais vous force à vivre ensemble. 

Nous rappellerons que ces français prisonniers d'un train fou ne sont pas les seuls : 
c'est aussi cette dirigeante de crèche condamnée par la Cour de cassation pour licenciement discriminatoire de sa salariée voilée, c'est aussi ce professeur de faculté renvoyé pour avoir refusé de faire cour en présence d'une étudiante voilée, ce sont ceux qui, parents désespérés, voisins excédés qui partagent la difficile tâche de s'ériger en barrage face à une idéologie subversive subventionnée, et encouragée par la lâcheté ambiante de l'Etat.
L'aveu même de l'Etat qui est obligé de décorer des civils étrangers et français pour les remercier d'avoir héroïquement arrêté le tueur est un aveu même que nous ne pouvons désormais compter que sur nous, sur nos sursauts patriotes, notre instinct de survie, notre volonté de défendre notre société.

Les passagers pris au piège c'est nous, enfermés dans un train hors contrôle, pendant que les pilotes eux, sont bien protégés se terrent Place Beauvau et au Palais de l'Elysée, barricadés loin des banlieues et des campagnes en tension.
Les balles ce sont nous qui les prenons et la mise en danger de cet Etat irresponsable nous pousse à nous protéger.

Cette affaire nous enseigne que :
  1. les français ont suffisamment tiré la sonnette d'alarme ;
  2. c'est aux français de se débrouiller désormais sans compter sur notre police ni sur notre armée chargée d'assurer la sécurité au MALI alors que nous en avons besoin en métropole ;
  3. c'est aux français de se défendre, de s'organiser et de s'armer face à la démission et à l'impuissance de l'Etat ; il n'y aura pas toujours de gentils GI de passage qui nous sauverons, nous ne pouvons compter que sur nous mêmes ;
  4. il est temps de se réveiller et de constater que l'Etat a renoncé à assurer ses obligations tirées du Contrat social : non seulement il a renoncé à nous protéger mais il a depuis longtemps cessé de prévenir et anticiper les risques de notre époque ("gouverner c'est prévoir") ;
  5. cette impuissance nous pousse à nous élever au péril de notre confort;
  6. la seule satisfaction sera d'avoir pu sauver vos proches.
  7. Les autres, ceux qui n'étaient pas dans le train continueront de défiler naïvement pour la paix jusqu'au jour où ils subiront eux-mêmes ces attaques.

Belle allégorie en fait que cette histoire.
Les règles sont désormais posées : Ceux qui aiment la France prendront le train et devront s'armer pour se défendre.