samedi 22 décembre 2012

les Camelots du Roi

Quelques images et propos pour rappeler l'engagement passé et actuel des Camelots du Roi

vendredi 7 décembre 2012

Les sans culottes du gouvernement Hollande : Cécile Duflot apostat

Les récentes prises de position des ministres khmers roses contre la chrétienté française sont exaspérantes et désespérantes.
Tous ont des origines chrétiennes. Tous ont honte de les révéler, de les assumer ou même de les confesser aux médias de gauche.
Alors dans la série j'ai été catholique et je suis prêt à se déculotter vendre mon âme pour plaire aux électeurs rouges : Céclie Duflot.
Cécile Duflot qui attaque l'Eglise, cela a choqué jusqu'à l'Assemblée nationale.
Il y a : Céclie Duflot apostat qui, après s'être permise de donner des leçons de charité à l'Eglise, renie sa religion catholique et rejette avec honte ses origines chrétienne :
Elle a appartenu aux Jeunesses Ouvrières Chrétiennes.
Oui et alors ? C'est pas bien méchant même si c'est 100 % de gauche. Mais même ça elle en a honte : lien vers la vidéo



Voici une ancienne catholique gauchiste, pur produit du relativisme et de la ratatouille de Vatican II, qui prend et rejette, qui a honte d'affirmer qu'elle a été chrétienne, et qui ne retient de la religion que ce qui l'arrange, qui rejette l'Eglise, ST PIERRE et ses Evêques, qui fait de la spiritualité sur mesure, à géométrie variable et qui, devant les médias, se dédie elamentablement et est prête à n'importe quelle bâssesse pour plaire à ses électeurs.
Sans aucun doute est-ce pire que d'être juste païen.
Ces gens là sont nos ministres. Je ne peux me résoudre à les reconnaître comme tels

mardi 4 décembre 2012

les sans culottes génocidaires de la France moderne

Avons nous tant oublié de notre passé que les agitations pitoyables de notre siècle ne trouvent même plus d'échos dans le glorieux passé de la France ?
 
Certes les agitations minables des gouvernements qui ont oeuvré à encore mieux abattre la France depuis Pompidou jusqu'à Hollande sont devenues tellement caricaturales qu'elles nous révoltent mollement mais ne tuent plus...sinon à petit feu.
Il est pourtant facile de voir que l'histoire se répète et que les Sans-culottes et révolutionnaires sanglants d'hier inspirent encore aujourd'hui leurs descendants.
 
Car les efforts à peine voilés pour faire tomber les anciens remparts lézardés de notre douce nation chrétienne sont autant de déclinaisons du travail de sape de Robespierre et de ses arrières petits enfants trotskistes et léninistes.

La mode n'est plus aux révolutions mais au nivellement sournois vers le bas.
 
Le mariage pour les homosexuels, provocation lamentable contre l'institution du mariage (pourtant amplement républicaine), l'immigration de masse, sorte de remplacement progressif et organisé des français selon un programme qui se maintient contre vents et marées, l'effritement de l'éducation et de l'autorité, la disparition des repères, la révision de l'histoire, la financiarisation à outrance, la réquisition des Eglises, le remplacement des fêtes, des noms et des références catholiques sont autant de coup de pieds contre une muraille millénaire. Et à force d'être répétés depuis des siècles, ces coup de pieds de nabots ont bien fini par fragiliser les piliers de la société française, et leur victoire est proche.
 
Les Cécile Duflot, Najat Vallaud-Belkacem, Harlem Desir, Julien Dray, Mélenchon et autres sont autant de Sans-culottes aux ordres d'une révolution qui continue son oeuvre. Bien sûr nous avons la chance de notre époque : ces gens là sont des nains ont nettement moins d'envergure qu'un Bela Kun, qu'un Pol Pot ou qu'un Lénine mais ce sont les mêmes petits ouvriers démolisseurs, soldats d'une idéologie destructrice, que l'on peut résumer comme mondialiste, déshumanisée et anti-chrétienne bref anti-française.
 
Alors Mesdames et Messieurs les Sans-culottes du gouvernement Hollande, vous ne nous laissez d'autre choix que de nous radicaliser et de vous considérer comme nos ennemis avant que vous ne deveniez nos fossoyeurs.

Vous vous heurterez à une France vendéennisée. Et ce sera la mienne, celle que j'ai choisie et celle que j'espère nombreuse.