mardi 30 octobre 2012

Les forces de destruction à l'oeuvre en France / socialist & communism destruction secret forces in France


Nous avons hérité de la démoralisation et de la désintégration progressive de ce que Sarkozy et la plupart des français désignent comme les "soixante huitards". Le mal encore à l'oeuvre aujourd'hui n'est rien d'autre qu'un poison inocculé par les services soviétiques. Sauf qu'aujourd'hui elle continue d'empoisonner la société et sert d'autres intérêts, la méthode est tellement efficace qu'elle est reprise aujourd'hui massivement jusque dans la révision des manuels scolaires et la destruiction des racines, traditions et religions de la mémoire et de la pensée (méthodes datant de la révolution de 1917).
Heureusement le remède existe mais il est individuel, familial, social, par le retour à ce que tous ces gens ont voulu détruire, la tradition, le patriotisme, le nationalisme, la pensée et la mémoire. Mais encore faut il que le peuple fasse cet effort.
Et on le sait, le peuple déteste faire des efforts aussi cela prendra plus de temps....alors gardons confiance.

We are inheritants of the slow demoralization and desintegration intiated in our west countries by the communists in the 60-90's. This is what we call in France the "May 68 issue", talking about the pro maoist and communist "revolution" that arrived in France in 1968. The communist poison is still active today and keep having desasters effetcs on french people. But today, this propaganda is still effective, even if it serves other interests. And the poisonning methods is still used by brainwashing at school, destroying families, traditions, patriotism, religions.
We have to consider that if 25 years are necessary to get rid of this poison, it is necessary to help people to wake up, to educate people, to be  patriot, to make efforts, but French people hate to make efforts, that's the problem meaning that it will take a longer time... I wish to stay positive.

mardi 23 octobre 2012

Il y a un an les émeutes à Londres ou le réveil des peuples face au multiculturalisme

Rappelez vous les émeutes londonniennes de 2011 où les racailles des banlieues ont pillé les centre villes anglais, avant que la Nation anglaise se réveille, doive s'organiser en milices pour protéger leurs biens et leur sécurité. C'est ce qu'ils ont fait avec l'English Defense League (EDL) (http://youtu.be/-a72P5t-sR4) 
Les rebelles, protégés par la police - qui préférait laisser faire les pillages plutôt que de laisser le peuple faire justice lui même - ont senti passer de près le souffle de la révolte des anglais de souche.
Cela se répètera nécessairement dans les nations européennes soumises aux mêmes tensions et au multiculturalisme forcé, et là encore ce sera au peuple de s'organiser, de se lever.
Vu l'état de la France sous lexomil Hollande, on peut s'inquiéter.
Mais au final ce qu'il faut retenir c'est l'initiative populaire, le bon sens qui finira par l'emporter. Sera-ce suffisant ?
Quel électrochoc réussira à réveiller les français ?
Les faits divers sont pourtant désormais quotidiens, éclairant à chaque fois l'aggravation des comportements barbares importés et étrangers aux moeurs d'une Nation catholique millénaire. Et rien ne bouge, ni dans les votes, ni dans les faits.
La tolérance, qui n'est pas une vertu des lumières mais une vertu enseignée par Jesus Christ, a longtemps infusé dans notre sang et c'est sans doute cela qu'aujourd'hui nous devons changer. A contre coeur ...
Mais nous y serons contraints.

mardi 9 octobre 2012

MAURRAS et la Mosquée

Le 13 juillet 1926, Charles Mauras assistait à l'inauguration de la Grande Mosquée de Paris; voilà sa réflexion prémonitoire et frappante de vérité :
"Quelques rues du centre de Paris sont égayées par les très belles robes de nos visiteurs marocains. Il y en a de vertes, il y en a de toutes les nuances. Certains de ces majestueux enfants du désert apparaîtraient "vêtus de probité candide et de lin blanc" si leur visage basané et presque noir ne faisait songer au barbouillage infernal. Que leurs consciences soient couleur de robe ou couleur de peau, leurs costumes restent enviables ; le plus négligent des hommes serait capable des frais de toilette qui aboutiraient à ces magnifiques cappa magna, à ces manteaux brodés de lune et de soleil. Notre Garde républicaine elle-même, si bien casquée, guêtrée et culottée soit-elle, cède, il me semble, à la splendeur diaprée de nos hôtes orientaux. Toute cette couleur dûment reconnue, il n'est pas moins vrai que nous sommes probablement en train de faire une grosse sottise. Cette mosquée en plein Paris ne me dit rien de bon. II n'y a peut-être pas de réveil de l'Islam, auquel cas tout ce que je dis ne tient pas et tout ce que l'on fait se trouve être aussi la plus vaine des choses. Mais, s'il y a un réveil de l'Islam, et je ne crois pas que l'on en puisse douter, un trophée de la foi coranique sur cette colline Sainte-Geneviève où tous les plus grands docteurs de la chrétienté enseignèrent contre l'Islam représente plus qu'une offense à notre passé : une menace pour notre avenir.

On pouvait accorder à l'Islam, chez lui, toutes les garanties et tous les respects. Bonaparte pouvait se déchausser dans la mosquée, et le maréchal Lyautey user des plus éloquentes figures pour affirmer la fraternité de tous les croyants : c'étaient choses lointaines, affaires d'Afrique ou d'Asie. Mais en France, chez les Protecteurs et chez les Vainqueurs, du simple point de vue politique, la construction officielle de la mosquée et surtout son inauguration en grande pompe républicaine, exprime quelque chose qui ressemble à une pénétration de notre pays et à sa prise de possession par nos sujets ou nos protégés. Ceux-ci la tiendront immanquablement pour un obscur aveu de faiblesse. Quelqu'un me disait hier :
- Qui colonise désormais ? Qui est colonisé ? Eux ou nous ?

J'aperçois, de ci de là, tel sourire supérieur. J'entends, je lis telles déclarations sur l'égalité des cultes et des races. On sera sage de ne pas les laisser propager, trop loin d'ici, par des hauts-parleurs trop puissants. Le conquérant trop attentif à la foi du conquis est un conquérant qui ne dure guère.
Nous venons de transgresser les justes bornes de la tolérance, du respect et de l'amitié. Nous venons de commettre le crime d'excès. Fasse le ciel que nous n'ayons pas à le payer avant peu et que les nobles races auxquelles nous avons dû un concours si précieux ne soient jamais grisées par leur sentiment de notre faiblesse
".
 
Ce texte édifiant porte les grandes lignes de ce que subit notre pays actuellement hébêté, sans repères solides qui ne permette de parer aux multiples attaques de son modèle de civilisation accumulé et perfectionné avec les siècles de sa glorieuse histoire.
 

Islam Vs/ La France : 2/0

La France, pays considéré comme un pays de non musulmans dhimmi  et d'infidèles encaisse les fonds du Quatar : l'addition en retour va être lourde. Ci-dessous l'article paru de le la Pravda Libération du 9 octobre évoqué par le site NOVOPRESS :
09/10/2012 – 14h00
STRASBOURG (NOVOpress) –
Suite au démantèlement le week-end dernier d’une cellule salafiste en France, Yves Bonnet avance deux facteurs déterminants dans le financement des réseaux musulmans radicaux dans l’Hexagone. Réalité qui poussait le journal Libération à titrer hier : « Terrorisme : l’islamisme version française » (photo). Pour l’ancien patron de la DST (Direction de la Surveillance du Territoire), le Qatar et l’Arabie Saoudite jouent un rôle majeur. « On n’ose pas parler de l’Arabie Saoudite et du Qatar, mais il faudrait peut-être aussi que ces braves gens cessent d’alimenter de leurs fonds un certain nombre d’actions préoccupantes », déclare Yves Bonnet dans un entretien publié lundi par la Dépêche du Midi. « Il va falloir un jour ouvrir le dossier du Qatar car là il y a un vrai problème. Et je me fiche des résultats du Paris-Saint-Germain », poursuit-il. Une prise de conscience urgente, alors que le Qatar compte injecter 50 à 100 millions d’euros en faveur de certaines banlieues françaises.

De plus, pour l’ancien patron de la DST, l’argent de la drogue généré par ces banlieues de l’immigration joue un rôle fondamental dans l’émergence du nouveau visage du terrorisme musulman en France. Il faut pour Yves Bonnet « s’intéresser à ces milieux de jeunes délinquants qui sont à la marge (…). Si la police veut être efficace, elle va devoir travailler en profondeur ces milieux, liés principalement à la drogue. Cela passera essentiellement par l’infiltration ». L’affaire Merah a démontré en début d’année que l’infiltration de ces jeunes naturalisés français de confession musulmane peut être vouée à l’échec.
Samedi, une cellule islamiste a été démantelée et l’un de ses membres, un Antillais de 33 ans, a été tué à Strasbourg après avoir ouvert le feu sur les policiers venus l’interpeller. Douze personnes, ayant des papiers d’identité français, étaient en garde à vue lundi. Immigration massive, octroi à tour de bras de la nationalité française et intervention de puissances musulmanes dans les affaires de la France… Plus de doute, l’islamisme met en péril la sécurité et l’avenir des Français.
[cc] Novopress.info, 2012. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

dimanche 7 octobre 2012

déclaration de guerre jeunes identitaires français


Déclaration des jeunes identitaires français / french young patriots proclamation

la bataille préiminaire par Jean Vaquié

Un peu partout en Europe se fait sentir le besoin de résister et de sauvegarder les traditions. Ce combat devient urgent.  Un auteur Jean Vaquié a bien résumé dans "LA BATAILLE PRELIMINAIRE" ce qui est une bataille de résistance sur un plan religieux. Ses propositions sont tout à fait transposables dans la résistance quotidienne à la décadence accélérée qui nous est imposée. Voici quelques extraits à retenir :
"Il devient de plus en plus évident que la lutte contre-révolutionnaire se déroule sur deux niveaux.
1 – Nous devons d’abord nous battre pour conserver les ultimes positions qui nous restent. Il faut de toute évidence et de toute nécessité, conserver nos chapelles, nos
quelques monastères, nos écoles, nos publications, nos associations, et plus généralement nos espérances de salut et l’orthodoxie de nos doctrines. Nous sommes ainsi impliqués dans une série de combats conservatoires de petite amplitude auxquels nous ne saurions nous soustraire.
En effet, nous trouvons la mention de ces combats dans l’Écriture elle-même. Saint Jean l’Évangéliste, sous la dictée de « Celui qui a les sept esprits de Dieu et les sept
étoiles », c’est-à-dire sous la dictée de Notre-Seigneur, s’adresse à l’ange de l’église de Sardes en disant : « Esto vigilens et confirma cetera quæ moritura erant », ce qui signifie : « Sois vigilant et maintiens les restes qui allaient périr » (Apoc. III, 2). L’Église de Sardes, nous le savons, correspond à notre temps. C’est donc à nous que s’adresse cette admonestation « maintiens les restes ». Le ciel attend de nous cette sauvegarde des restes. Elle formule notre mission. Elle constitue notre combat contrerévolutionnaire quotidien. Telle est la bataille inférieure. C’est une bataille défensive, une bataille de maintenance.
2 – Mais au-dessus de ces innombrables engagements conservatoires, une bataille, plus importante encore, a commencé dont l’objectif est la mutation du pouvoir.
« Je régnerai malgré mes ennemis ». Qui d’entre nous aurait oublié cette promesse laconique mais formelle, que Notre-Seigneur a faite à sainte Marguerite-Marie en 1689 ? À elle seule, elle pourrait nous suffire. (...). Nous pouvons donc être assurés qu’aujourd’hui Notre-Seigneur opère mystérieusement selon Sa manière habituelle, en vue d’extirper le pouvoir de la Bête et d’instaurer Son règne propre. Ce mystérieux combat, dont Il est l’agent essentiel, constitue la bataille supérieure, celle de l’objectif principal.
Ces deux batailles répondent l’une et l’autre à la volonté divine. 0n comprend que nous ne puissions les éluder ni l’une ni l’autre.
Elles sont entremêlées parce qu’elles sont soutenues l’une et l’autre par les mêmes combattants lesquels ont ainsi deux luttes différentes à mener. Il est de la première
importance de distinguer ces deux luttes puisqu’elles n’ont pas le même objectif et que par conséquent elles ne sont pas susceptibles de la même stratégie. En particulier la part qui revient à Dieu et celle qui revient aux hommes diffèrent grandement entre l’une et l’autre bataille".
lien vers la publication :
http://www.virgo-maria.org/D-Gnose-et-Contre-Eglise/Jean_Vaquie/index_jean_vaquie.htm